Lors de nos différentes sessions de co-construction avec le marché, nous avons eu la chance de poser un certain nombre de questions directement à plusieurs de nos ambassadeurs qui ont gentiment accepté de partager certains de leurs propos:
« La crise actuelle nous interroge sur comment on fait la ville ? Avec quels outils ?
Les thématiques de résilience et de transition vont prendre une place de plus en plus forte et nous inciter à repenser les finalités de l’aménagement de nos villes.
Mon intérêt pour le Salon Innopolis Expo est d’être au contact des acteurs qui font la ville, d’exprimer mes idées et de développer des partenariats. »
« La première idée est que derrière chaque technologie, chaque algorithme, il doit avoir un projet de société et un projet politique… Selon les technologies choisies et le paramétrage de ces solutions, il y a des impacts sociétaux à prendre en considération. »
« Lorsque l’on parle de la ville intelligente, on va aussi se rapprocher de la dimension communauté d’énergie, de flexibilité, de l’autoconsommation. Ce sont des sujets importants à aborder pendant le salon. »
« Il est important de pouvoir échanger avec des collèges et des fournisseurs sur des expériences qui peuvent nous apporter à nous élus, et donc je trouve la démarche d’Innopolis Expo très bonne. D’associer les élus à la construction du salon, on est carrément dans un circuit qui va du producteur au consommateur. On est dans la réalité et non pas dans le virtuel. »
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« Dans Innopolis il y a INNO. Il ne faut pas qu’on se perde dans les questions qu’on se pose depuis 30 ans dans les rencontres entre collectivités, entre services, entre fonctionnaires, entre élus sur telle ville ou tel sujet… je pense qu’il y a une réactualisation liée aux différentes crises. »
« Moi ce qui m’intéresserait en tant qu’élu, c’est le problème de la démocratie participative. Comment je fais pour récupérer l’adhésion du publique… sur Innopolis Expo, j’aimerais trouver des personnes qui me parle d’une solution. »
« Lorsque nous observons des villes Smart comme Amsterdam, Rotterdam ou d’autres, elles ont de plus en plus de lieux permettant de co-construire des solutions avec les citoyens. Les citoyens se mobilisent, ils sont acteurs et ne sont plus en attente des décisions qui viennent de la ville, des communes, des agglos. Cette partie co-création est vraiment en marche et il est important de travailler dessus. »
« L’Afrique fait sa mutation en intégrant des solutions FinTech à GreenTech dans son économie. On a produit beaucoup d’analyses depuis 10 ans sur des questions de développement. Nous mettons en place des produits structurels sur le terrain pour 3 domaines qui sont : L’innovation à l’accès à l’eau, l’habitat durable et L’assainissement. »
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CE QUE DISENT NOS PARTENAIRES
« Nous sommes ravis d’être partenaire du salon, nous n’avons pas suffisamment trouvé ce que nous cherchions sur d’autres salons et on a de grand espoir pour cet événement… Sur la gouvernance et la gestion des données personnelles on aura quelques beaux projets à mettre en avant sur l’évènement. »
« Notre objectif est de partager les déploiements passés mais aussi des déploiements qu’on va faire avec nos partenaires. Cela va fournir une plateforme de Matchmaking pour réunir ensemble les différentes parties prenantes, les chercheurs, les industriels, les villes. Nous travaillons avec énormément de villes Asiatiques… Ce qu’on attend de ce salon, c’est de pouvoir partager ce qu’on a pu réaliser avec nos partenaires et inviter notre réseau qui présente la vision d’une autre partie du monde… »
« Nous sommes un journal gratuit à destination de toutes les collectivités, nous diffusons de la petite commune à la région en passant par les départements et les intercommunalités à destination des agents, cadre territoriaux, élus… L’objectif de ce partenariat pour nous, c’est de faire un travail de veille pour enrichir notre rubrique innovation locale et puis de développer le titre avec nos 100.000 lecteurs. »